Proche de tous les arts, Barbara Carlotti collabore régulièrement avec des artistes de chansons (P. Katerine, JP Nataf, M Delpech, B. Belin, P.Watson pour ne citer qu’eux), des écrivains (Mathieu Riboulet, des artistes contemporains (Cécile Paris, Pia Cooper, etc.), des chorégraphes comme Julie Desprairies, ou des cinéastes (Vladimir Léon, Arnold Pasquier).
Littéralement imprégnée par son environnement, Barbara Carlotti se définit comme une pellicule photosensible. « Je réagis à la lumière, aux mouvements, à mon milieu direct, au climat, aux rencontres. Je me sens comme un capteur. L’environnement est mon principal moteur d’inspiration et de création ».
Point de départ de son nouvel album, une incursion dans des cultures très différentes mais complémentaires de la nôtre : celles du Brésil, du Japon et de l’Inde. Le nouvel album de Barbara Carlotti « L’amour, l’argent, le vent » est un voyage nocturne qui démarre donc au couché du soleil sur une plage de Rio et se termine au petit matin blême d’un dimanche d’automne désabusé en passant par le souvenir nostalgique et gai d’une nuit de danses endiablées.
Le résultat est épique et passionné, manifeste d’une singularité de plus en plus aigüe dans le paysage de la chanson française. Des mots, des sons, de la poésie, de l’électro, du koto… Barbara Carlotti nous mène vers une voix unique.